Films

Films critiqués

Ci-dessous, vous retrouverez la liste de tous les films qui ont fait l’objet d’une critique de film de notre part. Cette liste s’étoffera petit à petit. En avant pour la boucherie !

A scanner darkly : véritable mise en image

Adaptation du roman de Philip K. Dick, Substance mort, A scanner darkly raconte l’infiltration d’un agent de la brigade des stups qui va devoir, sur ordre de ses supérieurs, se surveiller lui-même car il est soupçonné d’être un gros trafiquant. La descente aux enfers commence…

L’avis de Yvan : plus qu’un adaptation, le film est une mise en image du roman qui peut déplaire et s’avérer difficile à suivre pour ceux qui n’ont pas lu le livre.

Blade Runner : l’anticipation légèrement édulcorée

Adapté au cinéma par Ridley Scott en 1981, Blade Runner présente un monde dans lequel des androïdes à forme humaine émigre de Mars pour la Terre sur laquelle vivent des humains qui n’ont pas pu ou pas voulu quitter leur planète. Ces humanoïdes, appelés les réplicants, sont poursuivis par les blade runner qui doivent les tuer car leur présence est illégal sur Terre. Rick Deckard est l’un de ces blade runner.

L’avis de Yvan : un très bon film d’anticipation mais bien trop édulcoré par rapport au livre original de Philip K. Dick.

Conan le Barbare : mythique ou miteux

En 1982, John Milius propose sa vision de l’oeuvre de Robert Erwin Howard avec Conan le Barbare. Arnorld Schwarzenegger incarne alors la célèbre montagne de muscle et on suit le barbare de sa tendre jeunesse à son accession au trône.

Mythique pour Selrach, miteux pour Yvan, incompréhensible par Lech (à lire pour comprendre…ou pas), ce film n’en finit plus de diviser l’équipe du Seigneur des Annours, parodie du Seigneur des Anneaux.

King Kong : on aime…ou pas

Créature devenue mythique depuis sa première apparition sur les écrans en 1933, le Kong revient sur les écrans en 2005 avec Peter Jackson dans le rôle du dompteur geek. Pari risqué de la part du réalisateur de Bad Taste et Brain Dead (…rien d’autre, si ?), le film ne pouvait pas passer entre les mailles du filet de l’équipe de la bd en ligne, le Seigneur des Annours.

Résultat des courses : Hommage pour Yvan, peut mieux faire pour Selrach, bon jeu vidéo pour Lech.

Minority Report : film moyen, mauvaise adaptation

Adapté de la nouvelle Rapport Minoritaire de Philip K. Dick, le film nous présente un monde dans lequel la criminalité n’existe plus car les criminels sont arrêtés avant même de penser à leur méfait. Mais lorsqu’un inspecteur est lui-même accusé de meurtre par les précogs, c’est tout le système qui est remis en cause.

Critique de Yvan : les incohérences viennent encore plus gâcher une version déjà aseptisé de l’oeuvre originelle.

Next : l’homme de fer blanc

Inspiré de la nouvelle L’Homme doré de Philip K. Dick, Next nous raconte l’histoire de Chris Johnson, un prestidigitateur de Las Vegas. Ce dernier est capable de voir toutes les possibilités de son avenir proche sur deux minutes et de choisir la meilleure voie.

L’avis de Yvan : un film à oublier rapidement et qui fait tâche même dans la filmographie de Nicolas Cage.

Paycheck : quel homme ce Ben Affleck

Adaptation cinématographique de La clause du salaire de Philip K. Dick, Paycheck raconte l’histoire de Michael Jennings, un ingénieur de génie acceptant de travailler sur des projets top-secret et de voir ses souvenirs effacés suite à ces missions. Mais, à la suite de sa dernière mission, il découvre qu’il a lui-même accepté d’échanger une partie de son salaire contre des objets sans intérêt.

Critique de Yvan : Paycheck est un film de Steven Seagal qui s’ignore !

Planète Hurlante : Hollywood a encore frappé

Sorti en 1996, Planète Hurlante est l’adaptation d’une nouvelle de Philip K. Dick intitulée Nouveau Modèle. A la suite d’une guerre destructrice sur une planète minière entre deux factions, les Hurleurs, des petites machines de guerre autonomes, sont créent. Mais ces dernières évoluent par elles-mêmes et construisent de nouveaux modèles toujours plus perfectionnés.

La critique de Yvan : une adaptation sympathique mais trop édulcorée par Hollywood.

Predator : du muscle et du culte

Film de John McTiernan avec, une fois de plus, M. Univers, Predator nous emmène au fin fond d’une jungle d’Amérique Centrale accompagnés d’une troupe de mercenaires qui a pour mission de sauver des otages. La mission semble se dérouler sans problème jusqu’au moment où un mystérieux ennemi prend pour cible l’équipe du major Dutch.

Une fois de plus, Yvan se retrouve seul contre tous (Selrach et Silvermousq en fait), quand il classe le film dans les séries B un peu light avec une bonne idée centrale. Pour S&S (Selrach et Silvermousq), c’est un des meilleurs films d’action des années 1980.

Robocop : du métal et du vitriol

Réalisé par Paul Verhoeven, Robocop nous plonge dans un Détroit ravagée par la violence et la criminalité. Dans cette ville, bientôt rebaptisée Delta City, les entreprises privées ont la main mise sur tous les services publiques, police compris. Pour combattre la criminalité, l’OCP développe de nouvelle armes pour prêter main forte à la police. Parmi ces nouvelles armes, Robocop devient rapidement le symbole de la justice pourtant corrompue.

Pour une fois, Selrach et Yvan sont du même avis en classant ce film parmi les plus grands du cinéma d’action. Pour Silvermousq, le bilan est bien plus mitigé.

Running Man : peut mieux faire

Bien qu’il ne soit pas le film le plus connu de Arnold Schwarzenegger, Running Man est à voir au moins une fois. Adapté d’un livre de Stephen King, et réalisé par Paul Glaser (ce nom vous dit quelque chose ?), ce film présente des USA totalitaires produisant un jeu violent dans lequel la liberté et la vie viennent récompenser le vainqueur.

Au final, l’équipe du Seigneur des Annours, s’accorde à dire que le film aurait pu être plus profond. A noter que cette critique signe l’arrivée d’un nouveau membre, Silvermousq.

Total Recall : une adaptation explosive

Avec ce film, Paul Verhoeven signe une adaptation assez libre d’une nouvelle de Philip K. Dick. Le film nous emmène dans le futur à la rencontre de Douglas Quail, un homme rêvant de Mars. Sachant qu’il ne pourra se payer ce voyage, il décide de se faire implanter le souvenir de ce voyage. Mais au moment de l’implant, un souvenir qui aurait du rester caché refait surface.

L’avis de Yvan : une bonne adaptation de la nouvelle et une très bonne série B à voir quand on veut.

V pour Vendetta : un massacre hollywoodien ?

Adaptation à l’écran de la plus grande oeuvre d’Alan Moore, V nous emmène dans une Angleterre fasciste et soumise à un gouvernement impitoyable. Dans ce pays où toute forme de culture a été banni, V défie le pouvoir et sauve la vie de Evey, une jeune femme travaillant à contre coeur pour la chaîne de télévision gouvernementale.

Bien que l’équipe s’accorde à dire que le film manque de profondeur et passe à côté du message de Moore, Selrach va plus loin en le classant dans la catégorie des merde innommables.